C’est en ces termes qu’au lendemain de l’annonce de chiffres qui laissent apparaitre une rentabilité hors pair pour Safran, Philippe Petitcolin remet en question l’implantation de deux nouvelles usines en France.
Le PDG de Safran se dit “citoyen” et, toujours selon ses propos, il explique que faire ces usines en France est son “voeux de patron”.
Toujours est-il que la rentabilité de Safran (14,4 %) doit être trop faible pour le “patron” puisque la raison de la remise en question d’une implantation française pour ces usines n’est autre que la compétitivité…